2pieces

Charte éthique 2pieces

Présentation 2pieces

Déclaration de la marque

Site web de la marque

Réduction des chutes de production

Matières recyclées revalorisant les déchets

Matières upcyclées revalorisant les déchets

Réduction des invendus

Valorisation des invendus

Limitation de la fréquence des collections

Service de réparation

Service de garantie

Réduction des émissions CO2

Interdiction du transport aérien

Matières recyclées réduisant l'impact carbone

Matières upcyclées réduisant l'impact carbone

Utilisation d'énergies renouvelables

Fournisseurs contrôlant la consommation d'énergie

Fournisseurs contrôlant la consommation d'eau

Interdiction du sablage

Matières naturelles limitant la pollution de l'eau

Matières biologiques limitant la pollution de l'eau

Fournisseurs contrôlant la pollution de l'eau

Interdiction du tannage au chrome

Utilisation de ressources renouvelables

Matières recyclées limitant l'épuisement des ressources

Matières upcyclées limitant l'épuisement des ressources

En connaissant ses fournisseurs, la marque peut contrôler leurs pratiques et prend ainsi ses responsabilités vis à vis de celles-ci.

Connaissance des fournisseurs

En travaillant en direct avec ses fournisseurs, c'est-à-dire sans intermédiaire, la marque a une vision transparente des conditions de travail des travailleurs dans ces usines.

Travail en direct avec les fournisseurs

En s'engageant contractuellement sur au minimum deux ans avec ses fournisseurs, la marque leur donne une visibilité financière et la capacité à se projeter.

Contrats longue durée avec les fournisseurs

Publication de la liste des fournisseurs

Pour toutes les étapes de la chaîne de production, les conditions de travail des ouvrier.e.s sont souvent très dures. C'est pourquoi il est important de contrôler les usines afin de vérifier les conditions de travail au sein des usines : travail forcé, âge minimum, lutte contre les discriminations, sécurité des travailleur.se.s ... Ces contrôles, aussi appelés audits, peuvent être effectués par des organismes ou cabinets externes à la marque. Ces audits sont alors une bonne garantie du respect des droits minimum des travailleur.se.s.

Audits des fournisseurs sur critères sociaux

Publication des résultats d'audits

Grâce à un système d'alerte et de signalement anonyme, les travailleur.se.s peuvent informer de manière anonyme de problèmes présents dans les usines.

Système d'alerte chez les fournisseurs

Aucune matière animale

Aucune matière entrainant la mort de l'animal

Aucune utilisation de matière animale

Utilisation de fins de rouleaux de l'habillement

Réutilisation de tissus post consommation

Publication de la liste des substances restreintes

Interdiction des alkylphénols

Interdiction des composés perfluocarbures

Interdiction des phtalates

Interdiction du chrome VI

Interdiction des retardateurs de flamme halogénés

Certains pays présentent des risques sociaux plus faibles grâce à des réglementations plus strictes.

Garanties liées à l'origine

En possédant des usines le long de sa chaîne d'approvisonnement, la marque a une vision transparente des conditions de travail des travailleurs dans ces usines et en est responsable.

Possession d'usines

Étude des risques sociaux

Réduction des accessoires sur les produits

Étude des risques de déforestation

Étude des risques d'épuisement des réserves d'eau

Contrôles de la toxicité des composants

Contrôles de la toxicité des produits finis

Au cours de toute la chaîne de production, les ouvrier.e.s peuvent être en contact avec de nombreuses substances chimiques ou être amené.e.s à les manipuler. Il est donc important de s'assurer que les conditions d'utilisation de ces substances sont bien respectées et qu'elles ne présentent pas de risques pour les travailleur.se.s.

Audits des fournisseurs sur critères de toxicité

Publication des résultats d'audits de toxicité

Respect du salaire minimum légal des travailleurs

Maillot de bain

Confection

L'étape de production des matières premières est l'étape pendant laquelle les fibres sont produites, soit par la culture de plantes : fibres naturelles végétales et fibres artificielles, soit par l'élevage : fibres naturelles animales, soit par des procédés chimiques : fibres synthétiques.

Matière première

L'étape de filature est l'étape pendant laquelle on transforme la matière première en fil.

Filature

L'étape de confection est l'étape pendant laquelle l'étoffe est découpée puis assemblée pour donner naissance au vêtement final.

La teinture est le processus d'application de couleur sur le tissu en l'immergeant dans un bain de teinture, permettant ainsi au tissu d'absorber la teinture et d'obtenir la teinte désirée. L'impression est la technique utilisée pour appliquer des couleurs ou des motifs à la surface du tissu en utilisant différentes méthodes telles que la sérigraphie ou l'impression numérique, ce qui donne des designs ou des motifs décoratifs qui rehaussent l'attrait visuel du tissu.

Teinture/impression

L'étape de tissage/tricotage est l'étape pendant laquelle le fil est transformé en étoffe. Il existe deux types d'étoffes : - le tissu qui consiste à assemblager de façon régulière des fils, disposés en deux séries, en les croisant perpendiculairement (ex: jeans) - le tricot qui consiste à effectuer des boucles avec le fil (ex: pull)

Tissage/tricotage

Marché controversé

Absence de mort de l'animal

Limitation des souffrances

Dérèglement climatique

Déchets

Ressources fossiles

En +

Vérifications et contrôles sur le vêtement

Substances utilisées

Relations avec les partenaires

Gestion des risques

Prise en compte de la vie des travailleurs

Elle évite ainsi les souffrances animales liées à l'élevage et parfois  l'abattage des animaux.

La marque n'utilise aucune matière animale.

Elle évite ainsi d'encourager et de soutenir l'élevage et la mort de nombreux animaux.

La marque n'utilise pas de matières animales générant la mort d'animaux.

Ces industries controversées sont responsables de la mort de millions d’animaux chaque année, dans le but de tirer profit du commerce de leur peau. Nous considérons comme exotiques tous les cuirs qui ne peuvent être des co-produits de l'alimentation (requin, serpent, lézard, crocodile). Les animaux utilisés pour leurs fourrures sont : vison, chinchilla, renard, lapin, et chats et chiens dans certains pays.

La marque n'effectue pas d'audits de toxicité.

La marque pratique exclusivement l'upcycling. Elle récupère des chutes de tissus pour les revaloriser en nouveaux vêtements. Ainsi, elle n'est pas responsable de l'étape d'ennoblissement.

La marque pratique exclusivement l'upcycling. Elle récupère des chutes de tissus pour les revaloriser en nouveaux vêtements. Ainsi, elle n'est pas responsable de l'étape de tissage-tricotage.

La marque pratique exclusivement l'upcycling. Elle récupère des chutes de tissus pour les revaloriser en nouveaux vêtements. Ainsi, elle n'est pas responsable de l'étape de filature.

Matières premières

La marque pratique exclusivement l'upcycling. Elle récupère des chutes de tissus pour les revaloriser en nouveaux vêtements. Ainsi, elle n'est pas responsable de l'étape de production des matières premières.

Les retardateurs de flamme halogénés ou bromés sont des substances chimiques utilisées dans l'industrie textile pour prévenir la formation de flammes lorsque le vêtement entre en contact avec la chaleur. Des études ont montré que les retardateurs de flamme halogénés affectent le système endocrinien et peuvent induire des changements dans le neurodéveloppement et le métabolisme des lipides.

La marque n'interdit pas l'utilisation de retardateurs de flamme halogénés dans sa chaîne de production.

Le chrome est une substance chimique utilisée dans l'industrie textile pour le tannage du cuir et la teinture de la laine et de la soie. Le chrome VI peut se former à la suite de l'utilisation du chrome III par oxydation. Contrairement aux autres dérivés du chrome, des études ont montré les effets cancérogènes du chrome VI sur les voies respiratoires lorsqu'il est inhalé.

La marque n'interdit pas l'utilisation du chrome VI dans sa chaîne de production.

Les phtalates sont des substances chimiques utilisées dans l'industrie textile afin d'avoir un rendu d'impression en relief. Des études ont montré que la toxicité des phtalates est très préoccupante car pouvant interférer avec le développement des testicules en bas âge. Les phtalates DEHP et DBP sont classés 'toxiques pour la reproduction' en Europe.

La marque n'interdit pas l'utilisation des phtalates dans sa chaîne de production.

Les composés perfluorés sont utilisés pour rendre un textile anti-tâche ou déperlant: résistant à l'eau. Des études ont démontré qu'ils affectent le foie et agissent comme perturbateurs endocriniens, modifiant les niveaux de croissance et les hormones sexuelles.

La marque n'interdit pas l'utilisation des composés perfluorés dans sa chaîne de production.

Les alkylphénols sont des substances chimiques utilisées dans l'industrie textile pour le nettoyage et la teinture. Des études ont démontré le potentiel toxicologique des alkylphénols principalement en tant que perturbateurs endocriniens chez l’animal, mais aussi chez l’humain.

La marque n'interdit pas l'utilisation des alkylphénols dans sa chaîne de production.

En publiant la liste des substances restreintes, la marque informe le consommateur sur les substances pouvant se trouver dans les vêtements. C'est un gage de transparence.

La marque ne publie pas la liste des substances restreintes dans sa chaîne de production.

Les contrôles de substances permettent de vérifier la quantité de substances chimiques présentes sur le textile. Ils peuvent être fait : 
- pendant la production, au cours des différentes étapes de production
- après la production, sur le produit fini ou pendant les étapes de transport et de stockage.

La marque n'effectue pas de contrôles de substances sur ses vêtements après la production.

Les contrôles de substances permettent de vérifier la quantité de substances chimiques présentes sur le textile. Ils peuvent être fait : - pendant la production, au cours des différentes étapes de production- après la production, sur le produit fini ou pendant les étapes de transport et de stockage.

La marque n'effectue pas de contrôles de substances sur ses vêtements pendant la production.

La marque fait de l'upcycling. Elle récupère des chutes de tissus pour les revaloriser en nouveaux vêtements. Il est donc plus difficile de contrôler les substances utilisées et présentes sur le tissu. Les tissus d'habillement peuvent subir divers traitements chimiques lors de leur production. Ils peuvent représenter un risque pour la santé des consommateurs.

Utilisation de fin de rouleaux de l’habillement

%% des vêtements de la marque sont produits à partir de tissus de fins de rouleaux de l'habillement.

La marque fait de l'upcycling. Elle récupère des chutes de tissus pour les revaloriser en nouveaux vêtements. Il est donc plus difficile de contrôler les substances utilisées et présentes sur le tissu. Les tissus post-consommation ont été débarrassés des substances chimiques représentant un risque lors de leur phase d'usage.

%% des vêtements de la marque sont produits à partir de tissus post-consommation.

La production de matières premières présente de nombreux risques sociaux, notamment dans la culture du coton où il est fréquent d'avoir recours au travail forcé ou au travail d'enfants. C'est pourquoi, il est important pour la marque de se renseigner sur les zones dans lesquelles elle s'approvisionne et mettre en place des mesures pour prévenir ces risques.

La marque a réalisé une étude des risques sociaux liés à l'approvisionnement de ses matières premières.

La marque pratique exclusivement l'upcycling. Elle récupère des chutes de tissus pour les revaloriser en nouveaux vêtements. Ainsi, elle n'est pas responsable de l'étape de matières premières.

%% des fournisseurs de l'étape de confection sont situés dans des pays à faibles risques sociaux.

%% des fournisseurs de l'étape d'ennoblissement sont situés dans des pays à faibles risques sociaux.

%% des fournisseurs de l'étape de tissage-tricotage sont situés dans des pays à faibles risques sociaux.

%% des fournisseurs de l'étape de filature sont situés dans des pays à faibles risques sociaux.

%% des fournisseurs de l'étape de production des matières premières sont situés dans des pays à faibles risques sociaux.

Le tannage au chrome utilse de nombreuses substances très nocives pour les travailleur.se.s.
Le tannage est une opération de transformation du derme de la peau des animaux en une substance imputrescible (qui ne peut pourrir).

La marque n'utilise pas de cuir. Par conséquent, elle n'a pas recours au tannage au chrome.

Au cours du procédé de sablage, du sable est projeté à haute pression à l'aide de canons.  Les ouvriers qui font ce travail sont exposés à la poussière de silice qui s’introduit dans leur organisme par les oreilles, le nez et la bouche. Ils peuvent développer une maladie appelée la silicose (affection pulmonaire incurable) susceptible d’évoluer en cancer.

La marque n'utilise pas de denim. Par conséquent, elle n'utilise pas la technique du sablage manuel ou mécanique.

La marque s'assure que les travailleur.se.s de ses usines de confection recoivent un salaire minimum légal.

En publiant la liste de ses fournisseurs, la marque fait preuve de transparence envers ses consommateurs. C'est également une preuve de sa connaissance de sa chaîne de production.

La marque ne publie pas la liste de ses fournisseurs.

La marque pratique exclusivement l'upcycling. Elle récupère des chutes de tissus pour les revaloriser en nouveaux vêtements. Ainsi, elle n'est pas responsable de l'étape de production d'ennoblissement.

A l'issue des audits, l'équipe chargée de son déroulement remplit un rapport pour présenter les résultats et ses observations. La publication de ses résultats sont un gage de transparence de la marque.

L'étape de confection exige le travail de nombreuses personnes. En effet, les machines ne remplacent pas la précision et le savoir-faire humain.

Lors de la teinture/impression, les ouvrier.e.s peuvent être exposés à de grandes quantités de substances chimiques.

La culture du coton pose notamment beaucoup de problématiques sociales : travail forcé, salaire faible.

La marque n'a pas mis en place de système d'alerte chez ses fournisseurs de confection.

La marque pratique exclusivement l'upcycling. Elle récupère des chutes de tissus pour les revaloriser en nouveaux vêtements. Ainsi, elle n'est pas responsable de l'étape de tissage.

%% des fournisseurs de confection sont connus de la marque.

Accessoires

La production de matières premières présente des risques d'épuisement des réserves d'eau. En effet, l'agriculture et l'élevage demandent d'importes quantités d'eau. C'est pourquoi, il est important pour la marque de se renseigner sur les zones dans lesquelles elle s'approvisionne et mettre en place des mesures pour prévenir ces risques.

La marque a réalisé une étude des risques d'épuisement des réserves d'eau liés à l'approvisionnement de ses matières premières.

La production de matières premières présente des risques de déforestation. En effet, l'agriculture et l'élevage demandent d'importes surfaces au sol. C'est pourquoi, il est important pour la marque de se renseigner sur les zones dans lesquelles elle s'approvisionne et mettre en place des mesures pour prévenir ces risques.

La marque a réalisé une étude des risques de déforestation liés à l'approvisionnement de ses matières premières.

Les accessoires inamovibles (bouton de jean, rivers, œillets…) empêchent le recyclage du produit en fin de vie. 
En réduisant leur utilisation, la marque facilite le recyclage de ses produits et limite la quantité de déchets textiles.

L'upcycling consiste à utiliser des vêtements et tissus usagés pour les transformer en pièces neuves. Cela permet de réduire la production de matières vierges et ainsi de limiter l'utilisation des ressources fossiles de la Terre telles que le pétrole.

Matières upcyclées limitant l’épuisement des ressources

%% des vêtements de la marque sont produits à partir de matières upcyclées.

L'utilisation de matières recyclées permet de réduire la production de matières vierges. En effet, les matières recyclées proviennent de différentes sources de déchets telles que les chutes, les vêtements usagés, les bouteilles en plastique, les fibres résiduelles ... Ces matières déjà produites et réutilisées permettent de limiter l'utilisation des ressources fossiles de la Terre telles que le pétrole.

Matières recyclées limitant l’épuisement des ressources

%% des vêtements de la marque sont produits à partir de matières recyclées.

70% des fibres produites dans le monde sont synthétiques, donc issues du pétrole. Le pétrole une ressource fossile limitée. En privilégiant les matières naturelles, la marque limite l'utilisation de cette ressource.

%% des vêtements de la marque sont produits à partir de matières naturelles, le reste est donc produit à partir de matières synthétiques.

Lors de la confection, le tissu est découpé puis assemblé pour donner naissance au vêtement final.
Cette étape demande peu d'énergie en comparaison aux autres étapes.

La marque travaille avec des fournisseurs de confection n'ayant pas de politique de réduction leur consommation d'énergie.

Lors de la teinture/impression, le tissu est traité de façon chimique ou mécanique pour lui donner ses caractéristiques : teinture, motifs, etc. 
Cette étape demande beaucoup d'électricité et surtout de chaleur. L'énergie nécessaire est en grande majorité produite par des sources non renouvenables (charbon, gaz...).

La marque pratique exclusivement l'upcycling. 
Elle récupère des chutes de tissus pour les revaloriser en nouveaux vêtements. Ainsi, elle n'est pas responsable de l'étape d'ennoblissement.

La transformation du fil en étoffe demande beaucoup d'énergie. Cette énergie est en grande majorité produite par des sources non renouvenables (charbon, gaz...).

La marque pratique exclusivement l'upcycling : elle récupère des chutes de tissus pour les revaloriser en nouveaux vêtements. 
Elle ne réalise pas l'étape de tissage-tricotage, puisque l'étoffe existe déjà.

Lors de la filature, la matière première est transformée en fil.
Cette étape demande beaucoup d'énergie. L'énergie nécessaire est en grande majorité produite par des sources non renouvenables (charbon, gaz...).

La production des matières premières demande normalement une grande quantité d'énergie et de chaleur, notamment pour les fibres synthétiques.

La marque pratique exclusivement l'upcycling : elle récupère des chutes de tissus pour les revaloriser en nouveaux vêtements. 
Elle ne réalise pas l'étape de production des matières premières, puisque la matière est déjà existante.

Les énergies renouvelables sont des énergies inépuisables. Elles participent à la lutte contre l’effet de serre et les rejets de CO2 dans l’atmosphère.

%% d'énergies renouvelables utilisées par la marque pour alimenter ses bureaux, ses entrepôts et ses boutiques.

L'upcycling consiste à utiliser des vêtements et tissus usagés pour les transformer en pièces neuves.Il n'y a pas de production de nouvelle matière, ni les étapes de : filature, tissage, tricotage et Teinture/impression, qui permettent habituellement de créer le tissu. L'impact carbone donc est moins élevé que celui des matières vierges et recyclées.

L'impact carbone des matières recyclées est moins élevé que celui des matières vierges. En effet, les matières recyclées proviennent de différentes sources de déchets (chutes, vêtements usagés, bouteilles en plastique, fibres résiduelles …) et permettent donc de limiter la production de matières vierges ayant un fort impact carbone. La raison de ce fort impact est l'agriculture et l'élevage qui utilisent de grandes surfaces et d'importantes quantités d'eau, mais également l'utilisation massive de produits chimiques et/ou de pétrole pour la production des fibres artificielles et synthétiques.

Le transport aérien est le transport le plus polluant en terme d'émissions de CO2 /poids transporté. En effet, selon le ministère français de l'environnement, un cargo émet entre 10 et 32,5g de CO2 /tonne /kilomètre contre 2200g pour un avion.

La marque n'interdit pas le transport aérien pour transporter ses produits.

Chaque année l'industrie du textile émet 1,2 milliard de tonnes de gaz à effet de serre, soit environ 2% des émissions globales. Il est donc important pour les marques de prendre des mesures afin de réduire leurs émissions.

La marque a mis en place une politique visant à réduire ses émissions carbone.

Le chrome est un métal lourd et toxique susceptible d'être rejetté dans l'eau après l'étape du tannage. 
Le tannage est une opération de transformation du derme de la peau des animaux en une substance imputrescible (qui ne peut pourrir).

Lors de la confection, le tissu est découpé puis assemblé pour donner naissance au vêtement final.
Cette étape pollue peu l'eau.

La marque travaille avec des fournisseurs de confection n'ayant pas de démarche particulière visant à réduire la pollution de l'eau générée par leur activité.

Lors de la teinture/impression, le tissu est traité de façon chimique ou mécanique pour lui donner ses caractéristiques : teinture, motifs, etc. 
Cette étape fait appel à de nombreux procédés et à une quantité importante de produits chimiques. Ces substances se retrouvent dans les eaux usées des usines. On y retrouve également les substances utilisées lors des étapes précédentes, qui doivent être éliminées avant tout traitement.

Au cours de cette étape, le fil est transformé en étoffe.
Les fils sont souvent enduits de produits chimiques permettant de faciliter le passage du fil à l'étoffe. Ces produits chimiques sont alors susceptibles de se retrouver dans les eaux usées des sites d'Teinture/impression.

Lors de la filature, la matière première est transformée en fil.
L'utilisation d'huiles minérales est nécessaire pour mettre le fil en bobines. Ces huiles peuvent contenir des traces de produits très nocifs pour la santé et l'environnement. Les résidus de ces huiles sont ensuite susceptibles de se retrouver dans les eaux usées des sites d'Teinture/impression.

Les procédés de fabrication des matières synthétiques et artificielles nécessitent une grande quantité de solvants chimiques. 
La culture des fibres naturelles et notamment du coton demandent également l'utilisation d'importantes quantités d'engrais et de pesticides.
Toutes ces substances chimiques participent à la pollution des nappes phréatiques et des cours d'eau.

Les matières naturelles et plus particulièrement le coton, sont très gourmandes en engrais et pesticides. Utilisés en excès, ces produits chimiques s'écoulent à travers les nappes phréatiques et les cours d'eau favorisant la prolifération d'algues au détriment d'autres formes de vie aquatique. L’agriculture biologique est un mode de production ayant recours à des pratiques culturales et d’élevage soucieuses du respect des équilibres naturels. Ainsi, elle exclut l’usage de ces produits chimiques de synthèse, des OGM et limite l’emploi d’intrants.

%% des vêtements de la marque sont produits à partir de matières issues de l'agriculture biologique.

Les matières synthétiques relâchent des microparticules de plastiques à chaque lavage qui terminent dans l'océan. Cela représente 500 000 tonnes de microparticules relâchées dans les océans chaque année, soit l'équivalent de 50 milliards de bouteilles en plastique.

%% des vêtements de la marque sont produits uniquement à partir de matières naturelles, le reste des vêtements contient donc au moins une matière synthétique.

La technique du sablage manuel ou mécanique est très gourmande en eau. Au cours du procédé de sablage, du sable est projeté à haute pression à l'aide de canons.

Lors de la confection, le tissu est découpé puis assemblé pour donner naissance au vêtement final.
Cette étape consomme peu d'eau.

La marque travaille avec des fournisseurs de confection n'ayant pas de démarche responsable au niveau de leur consommation d'eau.

Lors de la teinture/impression, le tissu est traité de façon chimique ou mécanique pour lui donner ses caractéristiques : teinture, motifs, etc. 
Cette étape consomme beaucoup d'eau : elle est responsable de 27% de la consommation d'eau douce dans l'industrie textile. En effet, une grande majorité des procédés d'Teinture/impression nécessitent l'utilisation d'eau douce.

Au cours du tissage ou du tricotage, le fil est transformé en étoffe.
Cette étape consomme peu d'eau.

Lors de la filature, la matière première est transformée en fil.
Cette étape consomme beaucoup d'eau : elle est responsable de 21% de la consommation d'eau douce dans l'industrie textile. 
En effet, certains procédés de filature sont dits "humides", c'est-à-dire qu'ils requierent l'utilisation de grandes quantités d'eau.

La production des matières premières consomme beaucoup d'eau. 
Elle est responsable de 31% de la consommation d'eau douce dans l'industrie textile, notamment par la culture du coton, très gourmande en eau.

La garantie des vêtements prouve que la marque a confiance en la qualité de ses produits. Celle-ci est un facteur clé pour augmenter la durée de vie des produits et ainsi réduire les déchets textiles.

La marque propose un service de garantie sur la totalité de ses produits.

La réparation des vêtements permet de les garder plus longtemps et ainsi de limiter la production de déchets textiles.

La marque propose un service de réparation sur la totalité de ses produits.

L'utilisation de matières upcyclées permet de réduire les déchets textiles en valorisant les chutes de production.

L'utilisation de matières recyclées réduit le gaspillage et les déchets textiles. 
En effet, les matières recyclées proviennent de différentes sources de déchets (chutes, vêtements usagés, bouteilles en plastique, fibres résiduelles…) et permettent de les valoriser.

Les chutes de production résultent de la découpe des différentes pièces dans le tissu, qui engendre une grande quantité de déchets textiles. 
En effet, 20 à 30% de tissus sont perdus lors de l'étape de la découpe. 

Pour limiter la quantité de déchets liés aux chutes, il est possible d'optimiser la découpe ou de revaloriser les chutes de production.

La marque ne met pas en place une politique visant à réduire ses chutes de production.

Les invendus sont source de déchets textiles. 
En effet, chaque année, entre 10 000 et 20 000 tonnes de produits textiles sont détruits en France. Cela équivaut au poids d’une à deux tours Eiffel.

Depuis le 1er janvier 2022, la loi anti-gaspillage française oblige les entreprises à limiter au maximum la destruction des invendus.

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